Pourquoi l'UDC peine-t-elle autant à se donner un nouveau président

Jass UDC - podium

La faute au coronavirus. L’UDC suisse n’élira pas son nouveau président le 28 mars à Bâle. L’assemblée est renvoyée après les vacances d’été. Le président démissionnaire, le Bernois Albert Rösti, à l’inverse du socialiste Christian Levrat, ne jouera pas les prolongations.

L’UDC sera orpheline quelques mois. Et on ne se presse pas au portillon pour prendre les rênes du premier parti de Suisse. L’UDC amorcerait-elle un déclin ? C’est le thème du dossier fédéral de ce lundi.

A Berne, Serge Jubin.

Plus sérieusement, l’UDC fonctionnera à partir du 28 mars avec ses 3 vice-présidents, Céline Amaudruz, Magdalena Martullo-Blocher et le Tessinois Marco Chiesa.

Albert Rösti explique pourquoi il quitte la présidence de l’UDC