En l’espace d’une semaine, deux domaines-clés de la Confédération, la sécurité et les finances, ont été passés à la loupe d’experts externes. Avec les deux fois, une litanie de recommandations qui apparaissent comme impératives.
En soi, prendre des avis externes au microcosme administratif et politique n’est pas une mauvaise chose. Mais le choix des experts, la publicité faite à leurs cogitations et le résultat qui convient forcément aux conseillers fédéraux concernés sont autant de cailloux dans le jardin des institutions démocratiques.
C’est le sujet de la chronique des pas perdus de notre correspondant parlementaire Serge Jubin.