Les COP se suivent et, malheureusement, se ressemblent. Les Conférences des Nations Unies sur les changements climatiques suscitent de grands espoirs, avant souvent d’accoucher de souris.
Depuis dix ans et les Accords de Paris, il y a toujours eu suffisamment de pays pour défendre le statu quo, les énergies fossiles et la procrastination.
La position de la Suisse est ambiguë. C’est le sujet de la chronique des pas perdus de notre correspondant parlementaire Serge Jubin.