La Suisse fait en quelque sorte le grand écart en cette fin d’année 2025. Elle passe de la présidence de la Confédération de la leader froide Karin Keller-Sutter au modeste et chaleureux Guy Parmelin.
On est presque tenté de dire aussi que la position de leader au Conseil fédéral est peut-être aussi passée de la ministre des finances à celui de l’économie. En regardant qui a obtenu un accord acceptable avec Donald Trump.
Pour Karin Keller-Sutter, ce fut une année de présidence délicate. C’est le thème de la chronique des pas perdus de notre correspondant parlementaire Serge Jubin.