Le programme Air2030 de l’armée suisse risque de coûter bien plus cher que planifié, car le renouvellement des moyens de protection de l’espace aérien se heurte à de nombreux imprévus. Le Conseil fédéral a voulu faire preuve de transparence mercredi en dévoilant certaines difficultés. Le ministre de la défense, Martin Pfister, est notamment revenu sur les tractations de ces derniers mois autour du F-35. Les explications de notre correspondante à Berne, Marie Vuilleumier :
Interrogé en conférence de presse, Martin Pfister s’est engagé à respecter le vote populaire de 2020 :
Dans la foulée, le ministre de la défense a annoncé d’autres surcoûts pour le programme d’armement Air2030. Qui sont liés à la construction de nouveaux hangars pour les F-35, au développement du système de défense sol-air Patriot et au nouveau logiciel de surveillance de l’espace aérien. /mv