Une cinquantaine des 246 parlementaires fédéraux élus en 2019 ne seront plus candidats à un nouveau mandat le 22 octobre prochain. 19 se sont déjà retirés en cours de législature, une trentaine d’autres ont annoncé leur départ cet automne. Parmi eux 7 Romands, que nos correspondants à Berne ont rencontrés et que vous entendrez ces prochains jours.
La parole ce lundi 3 juillet à la Verte Vaudoise Adèle Thorens, 51 ans, 16 ans de parlement fédéral, 12 au Conseil national et depuis 2019 au Conseil des Etats.
Les Verts tirent sans cesse la sonnette d’alarme face à la dégradation du climat et de la nature. L’engagement d’Adèle Thorens n’aurait-il servi à rien ? Ecoutez-là.
Formatrice d’adultes, membre de nombreuses organisations en lien avec la formation et l’environnement, présidente de Suisse Rando, Adèle Thorens a coprésidé le parti des Verts suisses. C’est une personnalité qui compte au parlement fédéral. Pourtant, au Conseil des Etats, il est difficile de se faire entendre quand on est femme romande et de gauche. Adèle Thorens.
Adèle Thorens a donc choisi de s’engager au sein des institutions démocratiques que critiquent pourtant les activistes du climat dans la rue. Qu’est-ce qui est le plus efficace, la rue ou les institutions ?
Ces parlementaires fédéraux qui s’en vont en 2023 : le libéral-radical genevois Christian Lüscher
Ces parlementaires fédéraux qui s’en vont en 2023 : l’UDC vaudois Jean-Pierre Grin
Ces parlementaires fédéraux qui s’en vont en 2023 : la socialiste vaudoise Ada Marra
Ces parlementaires fédéraux qui s’en vont en 2023 : le centriste jurassien Jean-Paul Gschwind
Ces parlementaires fédéraux qui s’en vont en 2023 : le libéral-radical vaudois Olivier Français
Ces parlementaires fédéraux qui s’en vont en 2023 : le sénateur socialiste bernois Hans Stöckli
Ces parlementaires fédéraux qui s’en vont en 2023 : l’UDC zurichois Roger Köppel
