La faune sauvage suisse est aussi touchée par la pollution plastique. Greenpeace a fait analyser les déjections de plusieurs animaux et a publié mardi les résultats de son enquête.
L’ONG a ramassé des crottes dans plusieurs régions, notamment dans les cantons du Valais, de Vaud, Neuchâtel et Fribourg. Quinze échantillons ont été transmis au laboratoire central de l’environnement de l’École polytechnique fédérale de Lausanne.
Et les résultats sont sans appel, indique Joëlle Hérin, responsable consommation et économie circulaire chez Greenpeace Suisse :
L’étude de Greenpeace est exploratoire et ne permet pas de comprendre comment les microplastiques sont arrivés dans le système digestif des animaux sauvages. Mais pour l’ONG, la conclusion est claire. Joëlle Hérin:
Le dernier round de négociations pour un traité mondial sur la pollution plastique se tiendra du 5 au 14 août à Genève. /mv